DarkWolf Lair

[DarkWolf]

SYNOPSIS : Bienvenue au Hell Fest. Dans ce train fantôme géant à ciel ouvert, on vient pour se faire peur. Décors angoissants, mises en scènes effrayantes, les visiteurs rivalisent d’invention pour se terroriser les uns et l’autres. Ca crie, ça hurle et ça se poignarde... pour de faux bien sûr ! Sauf qu’un tueur, bien réel lui, a décidé de faire du parc son terrain de chasse. Il prend pour cible un groupe d’amis venus fêter leurs retrouvailles… Comment convaincre les autorités qu’un serial killer sème la mort autour de lui quand la mort est l’attraction la plus festive du lieu ? Au Hell Fest, tout le monde vous entend crier, mais personne ne vous croira !

AVIS : Parfois, on lance un film d'horreur avec l'envie de découvrir autre chose, d'être surpris.

Et souvent, on tombe de haut, car on se retrouve face à un titre archi-classique, alors que tout était là pour au moins nous donner un petit sursaut.

On est donc face à une bande de jeunes (classique), partis dans un festival de l'horreur (moins classique), où un tueur en série masqué (clllassssiiiquue) va se fondre dans la masse pour tuer. On se dit : "chic, ça va envoyer!".

Ben que nenni : 4 victimes au compteur, des clichés tirés jusqu'à la moelle, aucune inventivité dans les meurtres (on poignarde, c'est tout, à part une scène plutôt trash qui exploite correctement l'environnement), des rallonges de blabla, Une pseudo romance comme on en a maintes fois vu, et la petite cerise sur le gâteau : Tony Todd au générique pour 10 secondes de présence, histoire de toucher son cacheton.

Ben avec ça, on va pas bien loin. Le film est soporifique, on souhaite être titillé, mais cela n'arrive jamais...ou du moins jusqu'à la toute fin, où le dernier plan, glacial, nous fait froid dans le dos.

Pourquoi diable le film n'était pas du même acabit??? On se retrouve avec un ersatz de "Scream" sans aucune originalité, alors que le contexte pouvait donner droit à d'excellentes scènes, dont une mise à mort à la "Saw", ici ridiculisée au maximum.

05/20
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Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.