DarkWolf Lair

[DarkWolf]

SYNOPSIS : L'équipe secrète Task For X d'Amanda Waller (Deadshot, Bronze Tiger, Killer Frost, Captain Boomerang, Harley Quinn et Copperhead) doit retrouver un puissant objet mystique. Sauf que d'autres super-vilains sont sur le coup...

AVIS : Après un film live aux qualités plus que discutables, voilà donc une autre adaptation de la Suicide Squad, mais cette fois en animation traditionnelle.

Exite donc le casting 3 étoiles, les effets spéciaux à foison. On est face à un film d'animation, comme DC sait le faire avec ses personnages (comme Batou).

mais ce qui change, c'est le ton, qui lui reste très mature. Comprendre par là que ce "Suicide Squad" s'adresse à un public adulte, de par sa violence très graphique.

Dès le début, Headshot prouve qu'il est le roi des tirs dans la tête, et ses acolytes ne sont pas en manque quand il s'agit de découper des corps en petits morceaux, ou les perforer.

Ceci est bien évidemment le rendu d'une introduction voulant donner le ton, la suite se calmant petit à petit pour s'orienter vers une course à une carte aux pouvoirs divins. La Suicide Squad n'est pas la seule équipe à vouloir cette carte, et d'autres clans vont venir se frotter à eux pour tenter de l'obtenir, le tout bien évidemment dans une salve de combats bien nerveux, où un clone de Flash (Zoom) s'avère être l'un des personnages les plus intéressants, son lien avec un autre monde et son objectif étant pertinents.

Mais ne nous emballons pas, ce Suicide Squad s'avère certes meilleur que le film, mais de peu, car la technique est ici ce qui fait vraiment défaut. Pour un épisode lambda d'une série, ok, c'est propre, mais pour un film dédié à une caste dont on n'a pas ou peu de d'actualités par rapport à d'autres groupes (pour ne pas les citer, la Justice League ou les Avengers, en passant par les Legends of Tomorrow), c'est très faible.

Même si ce n'est pas un critère qualitatif en soi (certains films d'animation se concentrent sur l'histoire et non pas sur l'esthétique, comme "Mes voisins les Yamada" ou "Un été avec Coo"), ici on parle quand même d'une adaptation de comics plus axé sur l'aspect visuel que sur le narratif.

11/20
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Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.