DarkWolf Site Admin
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Posté le: Lun Avr 16, 2018 12:55 pm Sujet du message: MAZINGER Z - INFINITY |
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SYNOPSIS : Dix ans sont passés depuis que Kôji Kabuto (Alcor), aux commandes du super robot Mazinger Z, créé par son grand-père, a ramené la paix en combattant l’Empire des Ténèbres et le maléfique Dr Hell. Aujourd’hui, Kôji Kabuto n’est plus pilote, il a pris le chemin de son père et grand-père en devenant scientifique. A l’occasion de ses recherches, il découvre une structure gigantesque profondément enterrée sous le mont Fuji. Il détecte de mystérieux signes de vie. Il s’en suit de nouvelles rencontres, de nouvelles menaces et bientôt, un nouveau destin pour l’humanité. Kôji Kabuto doit prendre une décision pour l’avenir : Dieu ou Démon, il lui faut choisir. Une nouvelle fois, c’est à MAZINGER Z que revient la lourde charge de sauver le monde.
AVIS : Chez nous, Goldorak est une institution, une référence pour les quadras élevés au Récré A2 dans leurs plus jeunes années.
Par contre, si on nous parle de Mazinger, là c'est plutôt le désert, alors qu'au japon, c'est tout l'inverse.
Mazinger et Goldorak, c'est quasiment kiffkiff. Les deux sont issus de l'esprit de Go Nagaï, et sont liés entre eux. C'est pourquoi on retrouve ici le personnage de Koji (Alcor en VF), bien connu chez nous pour être le sidekick d'Actarus dans Goldorak.
Si on connaît Goldorak, on ne sera donc pas dérouté quant au visionnage de ce "Mazinger Z", où les humains se font une nouvelle fois attaqués par une quantité impressionnante de monstres géants, certains étant assez folkorique (j'ai cru reconnaître un père Noël un peu cyber).
La survie de l'humanité va donc dépendre d'une poignée d'humains, capables de piloter ces fameux robots surarmés.
Bien évidemment, l'ensemble est actualisé, et la réalisation est d'excellente facture, que ce soit au niveau du design, de l'animation, des effets visuels, alliant 2D traditionnelle et 3D.
Maintenant, d'un point de vue intrigue, c'est pas non plus l'excellence. On retrouve une histoire d'IA devant faire un choix (un peu comme dans "le 5ème élément"), où une petite vision métaphorique renvoyant à certains épisodes d'Evangelion.
Mais qu'importe, on retrouve pendant un court laps de temps notre âme d'enfant, à voir ce robot détruire des hordes d'ennemis en citant toutes ses attaques (et là, y'a de quoi se marrer).
A noter que la VF est assurée par Arnaud Ducret, qui s'en tire plutôt pas mal pour la voix principale.
12/20 _________________ Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.
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