DarkWolf Lair

[DarkWolf]

SYNOPSIS : La vie de Tom Harvey bascule lorsqu’un IPhone lui tombe sur la tête du haut d’un immeuble et le plonge dans le coma. En se réveillant, l'adolescent découvre avec stupeur que des morceaux de l’appareil sont restés incrustés dans son cerveau, lui permettant d’intercepter des connexions Internet et téléphoniques. Ses nouvelles capacités incluent un champ de force électrique, agissant comme une armure et la capacité de délivrer des électrochocs paralysants...

AVIS : Netfilx continue à nous fournir des productions originales, et "iBoy" s'avère être plutôt sympathique, une sorte de super-héros contemporain.

Et comme dans tout film de super-héros, tout commence par un accident. ici, le jeune Tom tombe nez à nez avec des délinquants rentrés par effraction chez son amie Lucy (Maisie Williams, Arya dans GoT), ayant abusé d'elle et molesté son frère. Pris en chasse, le jeune Tom va se prendre une balle en pleine tête, au moment même où il contactait les forces de l'ordre avec son smartphone.

A son réveil, il constate des choses étranges, et se rend compte que les petits morceaux de son iPhone sont greffés à son cerveau, ce qui lui permet alors de prendre le contrôle de n'importe quel appareil connecté. Il va alors utiliser ce don pour mener son enquête, et faire justice.

Tout cela fait évidemment bien penser à de nombreux films comme "Spiderman", où un jeune homme se voit affublé d'un super-pouvoir qu'il comporte "des responsabilités".

Chance ou malédiction, on retrouve le cheminement classique, avec la difficulté de posséder un pouvoir tout en gardant l'anonymat, et bien évidemment jouer les justiciers.

Le jeune Bill Milner s'en sort plutôt bien dans la peau de iBoy, et l'intrigue est plutôt intéressante, même si, comme cela devient une habitude, on sait pertinemment comment tout cela va finir (que ce soit la romance avec sa copine dont il a le béguin, ou l'identité des agresseurs, sans compter le dénouement).

Mais même si la surprise n'est pas là, l'ensemble bénéficie d'une certaine innocence (dans le ressenti) faisant de lui un spectacle divertissant.
C'est peut-être d'ailleurs là un bémol à soulever, car on apprend tardivement ce qui s'est réellement passé entre Lucy et ses agresseurs (on parle de viol alors que les visions à la base ne mettent pas en évidence ce délit), ce qui aurait dû apporter plus de noirceur au propos et au traitement. Ici, on a l'impression qu'elle a juste subit une légère agression. Erreur de traduction?

12/20
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Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.