DarkWolf Lair

[DarkWolf]

SYNOPSIS : Le rêve de Kyôya Hashiba, un développeur de jeux vidéo âgé de 28 ans, se retrouve brisé après la faillite de son entreprise. Il décide donc de retourner chez ses parents pour se reposer. Sur place, il découvre la réussite des autres personnes de son âge et décide d'aller sur son lit en regrettant les décisions qu'il a pu faire. Cependant, lorsque ce dernier se réveille, il remarque avoir voyagé dix ans dans le passé.

AVIS : Cette série s'appuie sur le retour dans le temps, et confronte ce cher Kyôya à une vie rêvée s'il avait fait les bons choix dans le passé.

Si vous êtes friands de voyages dans le temps et de leurs paradoxes, ici il ne s'agit que d'un moyen pour renvoyer sans explications notre héros une décennie en arrière.

Et à la place de multiplier les aller-retours dans le temps, le pauvre bougre se contentera majoritairement d'une bifurcation à son temps présent, ce qui donnera en gros une série principalement axée sur un groupe d'amis/colocataires en études supérieures en art, et plus précisément sur le cinéma.

Une occasion d'en apprendre un peu plus sur ce métier, pour par la suite basculer vers tout autre chose : la création d'un jeu vidéo de drague...

Forcément, dit comme cela, on sent que la série va partir vers du graveleux, mais finalement non, ce projet est traité comme tout autre, sans grosse allusion sexuelle, mais vient surtout montrer les contraintes d'un tel projet et les conséquences sur les relations entre nos cohabitants, sans compter les heures de travail interminables.

Il s'agit donc plus d'un anime en reflet d'une certaine population japonaise liée à la création d'arts, et de ses conséquences.

Bien évidemment, la romance, les échecs, les remises en question seront aussi de la partie, avec une toute petite touche d'humour mais beaucoup d'optimisme.

La fin viendra en quelque sorte "boucler la boucle", avec la morale nécessaire à cette histoire plutôt originale sur sa présentation et le sujet abordé, mais finalement convenue sur la forme.

Cela reste un bon divertissement néanmoins.
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Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.