DarkWolf Site Admin
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Posté le: Jeu Fév 21, 2019 12:19 pm Sujet du message: CARNAGE CHEZ LES PUPPETS |
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SYNOPSIS : Dans les bas-fonds de Los Angeles, humains et marionnettes – les puppets – vivent ensemble.
Deux détectives, un humain et une marionnette, sont obligés de faire équipe bien malgré eux pour découvrir qui assassine les anciens acteurs du « Happy Time Gang », une émission de marionnettes très populaire.
AVIS : Les marionnettes, c'est pas que pour les enfants. On en eu la preuve avec les "Feebles" de Peter Jackson, puis chez nous avec Jeff Panacloc.
Brian Hanson, fils du Jim Henson (le Muppet Show) suit les traces de son père à une petite nuance près : ses marionnettes à lui n'ont plus rien de politiquement correct, et suivent le même exemple de débauche que celles des Feebles.
Dans un univers où humains et puppets cohabitent, une série de meurtres va obliger deux ex-partenaires à retravailler ensemble, pour le meilleur et pour le rire.
Autant le dire tout de suite, le mauvais goût est le mot d'ordre ici. Ne vous attendez pas à de l'humour subtil, mais à du trash (sexualité et violence).
On comprend mieux pourquoi Melissa McCarthy fait partie du casting, ses derniers rôles ne faisant pas non plus dans la plus grande finesse.
Donc si vous êtes allergique à l'humour très décalé, passez votre chemin. Si vous ne l'êtes pas par contre, vous risquez fort de vous retrouver avec des moments de tarés, des vannes cultes (oh bon sang que la VF assure un max sur ce coup, le "Puppet-moi l'fion" restera dans les annales).
Honnêtement, on pouvait s'attendre à pire, surtout concernant McCarthy qui a tendance à en faire des tonnes, jouant souvent sur le comique de répétition. C'est un tout petit peu le cas ici, mais heureusement, le rythme est plus soutenu et évite la monotonie d'une scène surexploitée.
Le film s'amuse aussi à parodier quelques grands classiques, du "Faucon Maltais" à "Basic Instinct" (Rhaaa le coup de la moquette et du papier peint assorti!!!!).
Même si le film a fait un four, ce n'est pas une raison pour les amateurs de politiquement incorrect d'ignorer ce titre, qui s'avère finalement plus digeste que ce qu'il semblait être.
14/20 _________________ Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.
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