DarkWolf Site Admin
Inscrit le: 20 Mar 2005 Messages: 3819 Localisation: Geekland
|
Posté le: Lun Oct 29, 2018 1:00 pm Sujet du message: OCEAN'S EIGHT |
|
|
SYNOPSIS : Cinq ans, huit mois, 12 jours… et le compteur tourne toujours ! C'est le temps qu'il aura fallu à Debbie Ocean pour échafauder le plus gros braquage de sa vie. Elle sait désormais ce qu'il lui faut : recruter une équipe de choc. À commencer par son "associée" Lou Miller. Ensemble, elles engagent une petite bande d'expertes : Amita, la bijoutière, Constance, l'arnaqueuse, Tammy, la receleuse, Nine Ball, la hackeuse et Rose, la styliste de mode. Le butin convoité est une rivière de diamants d'une valeur de 150 millions de dollars. Le somptueux bijou sera autour du cou de la célèbre star Daphne Kluger qui devrait être l'objet de toutes les attentions au cours du Met Gala, l'événement de l'année. C'est donc un plan en béton armé. À condition que tout s'enchaîne sans la moindre erreur de parcours. Enfin, si les filles comptent repartir de la soirée avec les diamants sans être inquiétées…
AVIS : Les précédents "Ocean's" se basaient sur un casting majoritairement masculin, et ce dernier volet remet les pendules à l'heure en plaçant les femmes au premier plan.
La base des "Ocean's" est conservée, on parle toujours d'un braquage avec une équipe éclectique, dont de nombreuses stars.
Féminisation oblige, cette nouvelle équipe est composée de Sandra Bullock dans le rôle de la sœur de Danny Ocean, une famille à priori baignant dans le vol car la sœur ne vaut pas mieux que le frère, quand il s'agit de dérober un superbe bijou estimé à des millions de dollars.
Pour réussir ce tour de passe-passe, durant un gala bondé de monde et de caméras, elle va recruter une équipe de choc, 100% féminine (enfin, 99.99 pour la petite surprise), avec Cate Blanchett, Rihanna, Helena Bonham Carter, Sarah Paulson, sans oublier la présence au casting dans le clan adverse de Anne Hathaway.
Le réalisateur Gary Ross, dont c'est ici le premier film attitré à la saga, se plie aux codes du genre, et propose donc une intrigue à rebondissements, une façon de filmer avec ses plans qui se croisent, et bien évidemment une B.O. jazzy dans le même esprit que ses aînés.
Le tout dans une bonne humeur communicative, sans violence verbale ou physique, ni vulgarité. On salue au passage le jeu d'acteurs, et notamment celui de Anne Hathaway, impeccable dans son rôle de diva à moitié nunuche.
En partant de ce postulat, on pourrait se dire que ce "Ocean's Eight" n'est qu'une version féminisée des précédents. C'est un peu le cas, certes, on a en plus aucune surprise ou grosse révélation majeure, mais on passe tout de même un sympathique petit moment.
13.5/20 _________________ Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.
|
|