DarkWolf Site Admin
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Posté le: Mar Oct 17, 2017 6:49 am Sujet du message: TOWA NO QUON |
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Nautiljon
SYNOPSIS : ans une vision futuriste de Tokyo, des êtres humains dotés de pouvoirs distincts sont pourchassés par une organisation secrète nommée : Kestos.
Connus sous le nom : Attractors. Par le biais de leurs sentiments, elles peuvent causer des ravages grâce à des pouvoirs surnaturels, de nouveaux Attractors sont souvent repérés et deux camps se font face, l'un voulant sauver chaque personne, l'autre cherchant à maîtriser ces gens sortis de nulle part mais, ils décidèrent d'unir leurs forces pour se défendre. Ils sont dirigés par un garçon nommé : Quon, un idéaliste qui est déterminé à sauver tous les attractors.
AVIS : 6 épisodes de 48 minutes, un format spécial pour cette série plutôt distrayante, pas révolutionnaire, mais dotée d'une solide réalisation, d'un chara design correct (on sent quand même l'influence du design de "Cyborg 9" sur le personnage de Quon).
Les thèmes abordés ne sont pas révolutionnaires : un jeune homme doté de super-pouvoirs, regroupant ceux comme lui, leur évitant de se faire massacrer par une mystérieuse organisation.
Chaque épisode de "Towa No Quon" n'est pas là pour présenter un nouveau mutant, mais c'est une sorte de long film découpé en 6 chapitres, où on assiste bien évidemment aux affrontements entre Quon et la dite société quand il s'agit de récupérer de jeunes mutants, inconscients des dangers que peuvent représenter leurs pouvoirs s'il ne sont pas maîtrisés.
Par la suite, l'intrigue se densifie et met en avant le passé de Quon, et celui de son frère Towa.
Pour le reste, on retrouve du grand classique : des combats entre surhommes, de grosses explosions, quelques petites séances d'introspection, un méchant patibulaire, de bons sentiments dégoulinants...
Comme dit plus haut, cette série n'est pas révolutionnaire. Cela ne l'empêche pas de se laisser regarder sans la subir, mais il aurait peut être fallu casser la narration traditionnelle pour proposer quelque chose de plus accrocheur.
_________________ Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.
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