DarkWolf Site Admin
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Posté le: Lun Juin 13, 2016 7:11 am Sujet du message: SEUL SUR MARS |
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SYNOPSIS : Lors d’une expédition sur Mars, l’astronaute Mark Watney (Matt Damon) est laissé pour mort par ses coéquipiers, une tempête les ayant obligés à décoller en urgence. Mais Mark a survécu et il est désormais seul, sans moyen de repartir, sur une planète hostile. Il va devoir faire appel à son intelligence et son ingéniosité pour tenter de survivre et trouver un moyen de contacter la Terre. A 225 millions de kilomètres, la NASA et des scientifiques du monde entier travaillent sans relâche pour le sauver, pendant que ses coéquipiers tentent d’organiser une mission pour le récupérer au péril de leurs vies.
AVIS : décidément, Matt Damon ne loupe pas une occasion pour se faire sauver. Cette fois, c'est sous la houlette de Ridley Scott, en tant qu'astronaute laissé pour mort sur le sol de Mars. Ça fait un peu loin de chez lui, et le film va donc nous narrer son périple, de sa faculté à s'adapter tel un Robinson Crusoé pour attendre d' hypothétiques secours.
Et on peut dire que Scott signe un excellent film, maîtrisé de bout à bout, certes sans grande originalité (il s'agit d'un sauvetage comme on en a maintes fois vu au ciné) mais vous collant à votre siège pendant les 144 minutes à suivre.
C'est l'alternance entre les différents protagonistes (la NASA sur Terre, les autres membres de l'équipage sur le retour et bien évidemment Matt sur la planète rouge) qui donne le rythme, "Seul sur Mars" narrant une survie de plusieurs mois.
Côté technique, tout est crédible, et vulgarisé afin que tout le monde comprenne comment survivre sur une planète sans la moindre ressource, via de nombreux enregistrements de Matt, son carnet de bord.
Et le bougre s'en sort très bien, un acteur efficace, sans surjeu, et aidé par la magie hollywoodienne vers la fin pour une sacrée métamorphose.
Le reste du casting repose aussi sur de grands noms, tel que Jessica Chastain, Jeff Daniels, Kate Mara et l'increvable (sic) Sean Bean.
Une fois encore, Ridley Scott prouve que lui, l'espace, et les survivants (et quelques patates) sont une belle histoire d'amour fructueuse.
16/20 _________________ Cogito Lycanthropus ergo sum Lycanthropus.
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